Peinture glycérophtalique : pourquoi son interdiction est nécessaire en 2025 ?

Table des matières
Autrefois plébiscitée pour son éclat et sa robustesse, la peinture glycérophtalique s’apprête à vivre une fin de règne annoncée en 2025. Présente dans de nombreux foyers, sur les boiseries, les meubles ou les murs, elle fut longtemps un choix incontournable pour les bricoleurs et les professionnels. Pourtant, son usage devient désormais problématique en raison de ses impacts nocifs sur la santé humaine et l’environnement. Cette peinture à base de solvants organiques, bien qu’efficace et résistante, voit son avenir compromis par des normes européennes et françaises de plus en plus strictes, visant à limiter sévèrement ses composés organiques volatils (COV). Face à ces contraintes, les alternatives modernes, telles que les peintures acryliques ou hybrides, proposent aujourd’hui des performances équivalentes tout en préservant mieux notre qualité de vie et la planète. Ce changement profond dans l’univers du bricolage invite à repenser ses approches, ses outils et à mieux comprendre les raisons techniques et environnementales qui motivent cette interdiction progressive.
Nombreux sont ceux qui s’interrogent : la peinture glycérophtalique sera-t-elle totalement bannie ? Quels sont les enjeux derrière cette réglementation ? Comment continuer à réaliser des travaux soignés sans elle ? À travers cet article, je vous invite à plonger dans l’histoire, la composition, les bienfaits, mais surtout les risques liés à ce type de peinture. Nous explorerons également les solutions à adopter pour vos futurs projets, sans compromettre la sécurité et la durabilité. Entre anecdotes de chantier, conseils pratiques issus de mon expérience terrain et informations légales récentes, vous saurez tout pour préparer sereinement vos prochains travaux en 2025.
Peinture glycérophtalique : composition et qualités qui ont séduit le monde du bricolage
La peinture glycérophtalique, que l’on surnomme souvent « peinture à l’huile » ou « glycéro », repose sur une base de résines alkydes synthétiques. Ces résines sont le fruit d’une réaction chimique entre le glycérol et des acides phtaliques, qui lui confèrent solidité et brillance. Le white spirit, un solvant organique, est ajouté pour assurer une bonne fluidité et permettre une application aisée sur différents supports.
Cette peinture est particulièrement adaptée aux lieux exposés à l’humidité ou à l’usure, comme les cuisines, les salles de bains, ou les boiseries comme les portes et plinthes. Sa résistance aux frottements et aux éclaboussures en fait un allié de choix pour des zones très sollicitées. De plus, elle offre un rendu lisse et tendu, avec une finition satinée ou brillante, très appréciée pour ses qualités esthétiques.
Pour mieux comprendre son attrait, voici quelques forces qui ont valu à la peinture glycérophtalique sa popularité durant des décennies :
- Excellente résistance mécanique : sa formulation la rend robuste contre les chocs et les rayures.
- Facilité d’entretien : lessivable, elle supporte le nettoyage à l’eau savonneuse sans perdre son éclat.
- Pouvoir couvrant élevé : une seule couche bien appliquée suffit souvent à uniformiser les surfaces.
- Adaptabilité : elle adhère bien sur le bois, le métal ou même certains plastiques, ce qui en fait un outil polyvalent.
- Longue durée de vie : les peintures glycérophtaliques conservent leur brillance et leur intégrité plusieurs années, même en extérieur.
Pour les bricoleurs amateurs, on la retrouvait facilement auprès de fournisseurs comme Leroy Merlin, Castorama ou encore Matériaux de Construction Gauthier. Les grandes marques telles que Dulux Valentine, Bouchard, V33 et Sikkens ont longtemps commercialisé des gammes largement appréciées du grand public et des professionnels.

| Propriétés principales | Impact pratique | Conséquences |
|---|---|---|
| Résistance à l’eau et à l’humidité | Convient aux pièces humides comme la cuisine et la salle de bains | Durabilité et protection durable des surfaces concernées |
| Application à base de solvant (white spirit) | Bonne adhérence sur supports variés | Émissions importantes de composés organiques volatils (COV) |
| Long temps de séchage | Permet retouches aisées | Temps d’attente prolongé pour la finition |
| Finition lisse et brillante | Esthétique soignée | Appréciée dans les lieux de vie et passages fréquents |
Les réglementations européennes et françaises : encadrer l’usage de la peinture glycérophtalique en 2025
Les peintures glycérophtaliques font désormais l’objet d’une surveillance accrue en raison de leur impact sur la santé humaine et l’environnement. L’Union Européenne, consciente des dangers des composés organiques volatils, a instauré dès 2010 la directive 2004/42/CE pour limiter drastiquement leur teneur dans les peintures et vernis.
Cette directive impose des seuils maximaux de COV à ne pas dépasser, qui varient selon :
- Le type de peinture (mate, satinée, brillante)
- Le support d’application (intérieur/extérieur)
- La destination (usage professionnel ou grand public)
En France, ces restrictions sont renforcées par des lois nationales visant à protéger la qualité de l’air intérieur. Ainsi, depuis plusieurs années, la plupart des peintures glycérophtaliques classiques ne peuvent plus être vendues librement, notamment aux particuliers en grande surface de bricolage comme Leroy Merlin ou Castorama. Seuls certains produits professionnels respectant ces critères, souvent modifiés pour réduire la teneur en solvant, continuent d’être commercialisés.
Ces restrictions prennent une tournure plus sévère en 2025, marquant une étape clé dans la réduction de l’usage de ces produits. L’objectif est clair :
- Protéger la santé des applicateurs et des occupants des bâtiments
- Limiter la pollution atmosphérique locale et globale liée aux COV
- Favoriser l’émergence de solutions plus écologiques
À partir de 2025, on assistera donc à :
- Une interdiction progressive de certaines peintures glycérophtaliques dépassant les normes européennes
- Une obligation pour les fabricants d’opter pour des formulations à faible émission
- Un encadrement renforcé pour les professionnels, notamment dans le secteur des matériaux de construction, incluant les acteurs majeurs comme Peintures PPG ou Peintures Opi
Ces mesures s’inscrivent parallèlement dans un contexte plus large de transition écologique et énergétique des bâtiments, comme le rappelle la réforme du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), dont le souci de limiter les polluants intérieurs est devenu prioritaire.
| Directive / Loi | Date d’entrée en vigueur | Objet principal | Conséquences sur la peinture glycéro |
|---|---|---|---|
| Directive européenne 2004/42/CE | 2010 | Limitation des COV dans les peintures | Fixe des seuils de COV stricts pour les peintures glycérophtaliques |
| Réglementation française AQME | 2018-2025 | Qualité de l’air intérieur | Interdiction progressive des peintures traditionnelles riches en solvants |
| Plan Climat 2025 | 2023-2025 | Réduction des émissions polluantes | Encourage le remplacement par des peintures écologiques |
Risques sanitaires liés à l’utilisation de la peinture glycérophtalique : un enjeu majeur en prévention santé
Le principal problème de la peinture glycérophtalique réside dans ses émissions de composés organiques volatils (COV), particulièrement nocifs pour les personnes exposées. Ces substances chimiques, issues des solvants comme le white spirit, se dégagent lors de l’application et du séchage, avec plusieurs conséquences potentielles :
- Irritations oculaires et respiratoires : les vapeurs irritent rapidement la muqueuse nasale, les yeux et la gorge
- Maux de tête et nausées : fréquents chez les bricoleurs peu ou mal protégés
- Vertiges et troubles nerveux : lors d’une exposition prolongée ou dans des espaces mal ventilés
- Risques cancérigènes : certaines substances contenues dans la peinture ont été classées comme possiblement cancérigènes sur le long terme
- Impact sur la qualité de l’air intérieur : persistance des vapeurs dans l’habitat plusieurs jours après les travaux
Ces risques s’avèrent particulièrement préoccupants dans les lieux clos et mal ventilés. Ils imposent donc des mesures strictes lors de la peinture :
- Port de masques filtrants adaptés (FFP2 ou supérieurs)
- Ventilation prolongée des locaux pendant et après les travaux
- Utilisation de gants et protection oculaire
- Respect des consignes et temps de séchage imposés par le fabricant
Il est aussi recommandé d’adopter des alternatives moins nocives, notamment dans des environnements sensibles comme les crèches, écoles, ou hôpitaux. Cette vigilance est désormais un enjeu central pour les acteurs du bâtiment et les utilisateurs afin d’améliorer la sécurité au travail et le bien-être des habitants.
| Symptômes courants | Modes de prévention | Conséquences à long terme |
|---|---|---|
| Irritations des voies respiratoires | Port de masque, ventilation accrue | Asthme, bronchite chronique |
| Céphalées, nausées | Interruption du travail en cas de symptômes | Fatigue chronique, troubles neurologiques |
| Vertiges, confusion | Travail dans espaces aérés | Dommages au système nerveux central |
| Difficultés oculaires | Lunettes de protection | Atteinte de la vision et intolérance à certains produits |
Les impacts environnementaux de la peinture glycérophtalique : une pollution sous-estimée
Au-delà des dangers pour la santé humaine, la peinture glycérophtalique est aussi source de pollution environnementale significative. Ses composants organiques volatils participent à la formation de smog et à la dégradation de la qualité atmosphérique locale. Lors du stockage, de l’application et du nettoyage des outils, les solvants peuvent contaminer les sols et les cours d’eau.
Les rejets de COV contribuent à l’augmentation des gaz à effet de serre et à l’acidification des milieux aquatiques. Cette pollution diffuse pèse sur la biodiversité, affecte la faune locale et nuit au cadre de vie, notamment en milieu urbain. La gestion des déchets de peintures glycérophtaliques est également complexe, demandant des filières spécifiques rarement accessibles pour le grand public.
Voici des points clés sur ces impacts :
- Émissions de gaz toxiques lors de l’application et le séchage
- Pollution des nappes phréatiques en cas d’élimination inappropriée
- Déchets difficilement recyclables et traitement coûteux
- Consommation énergétique élevée liée à la production et l’élimination
Face à ces constats, la pression réglementaire s’est intensifiée, poussant les acteurs majeurs comme Ripolin ou Peintures PPG à proposer des alternatives plus respectueuses. Cette tendance s’inscrit dans une conscience écologique accrue, également visible dans l’interdiction récente du désherbant Radikal, soulignant la nécessité d’agir en faveur de l’environnement en 2025.
| Source de pollution | Conséquence | Solution envisagée |
|---|---|---|
| Émissions COV dans l’air | Dégradation qualité de l’air, smog urbain | Remplacement par peintures à base d’eau |
| Rejets polluants dans l’eau et le sol | Mortalité faune aquatique | Gestion appropriée des déchets et collecte dédiée |
| Stockage et élimination | Accident chimique potentiel | Utilisation de filières sécurisées |
Les alternatives modernes à la peinture glycérophtalique : performance et écologie au rendez-vous
Pour répondre aux contraintes générées par l’usage des peintures à solvants, l’industrie de la peinture a investi dans le développement de solutions moins polluantes et plus saines. Aujourd’hui, les peintures acryliques hydrodiluables côtoient des gammes hybrides combinant la résistance des résines alkydes à la base aqueuse.
Ces alternatives, distribuées par des enseignes telles que Leroy Merlin, Castorama ou chez des spécialistes comme Matériaux de Construction Gauthier, rivalisent désormais avec la glycéro sur plusieurs points clés :
- Rapidité de séchage : une qualité incontournable pour gagner du temps sur les chantiers
- Faible odeur : un confort accru pour les artisans et les habitants
- Facilité de nettoyage : outils lavables à l’eau, pas besoin de solvants spéciaux
- Durabilité comparable : certaines formules offrent une excellente résistance à l’humidité et aux frottements
- Respect des normes environnementales : faible ou quasi nulle émission de COV
Plusieurs marques telles que Peintures Opi ou V33 proposent aujourd’hui des collections spécifiques destinées aux pièces humides, aux boiseries ou aux métaux, avec un rendu esthétique travaillé. Il faut toutefois bien choisir son produit en fonction du support et de l’usage prévu.
| Type de peinture | Avantages | Limites | Usage conseillé |
|---|---|---|---|
| Acrylique hydrodiluable | Séchage rapide, faible odeur, écologique | Moins résistante aux chocs importants | Murs intérieurs, plafonds, boiseries peu sollicitées |
| Peinture hybride (alkyde aqueuse) | Combinaison de résistance et écologie | Prix plus élevé | Boiseries, portes, pièces humides |
| Peinture glycérophtalique conforme aux normes | Bonne résistance, finition brillante | Encadrement strict, usage limité | Applications professionnelles spécifiques |
Conseils pratiques pour préparer et appliquer la peinture glycérophtalique en respectant les nouvelles normes
Dans certains cas, la peinture glycérophtalique reste indispensable, notamment sur des chantiers spécifiques ou dans la rénovation de monuments anciens. Son application demande cependant une préparation rigoureuse, en particulier en 2025, sous l’œil vigilant des contrôles réglementaires.
Voici quelques recommandations indispensables pour appliquer la peinture glycéro dans le respect des normes et en limitant les risques :
- Préparation minutieuse des surfaces : nettoyage, dégoudronnage, ponçage pour garantir une adhérence optimale
- Choix d’une peinture glycéro à faible COV : privilégier les produits conformes aux dernières législations européennes
- Application en espaces bien ventilés : essentiel pour diminuer les concentrations de vapeurs toxiques dans l’air
- Protection personnelle : port d’équipements de protection individuelle (EPI) comme masques FFP2, gants et lunettes
- Nettoyage des outils avec les solvants recommandés par le fabricant pour éviter toute contamination ou dégât environnemental
- Respect du temps de séchage obligatoires pour garantir la qualité finale et la sécurité sanitaire
Je me souviens d’un chantier où l’on devait restaurer des portes anciennes dans une bâtisse face à la mer. L’humidité ambiante et les vents forts rendaient l’opération délicate. Le choix s’est porté sur une glycéro à faible émission et un travail méticuleux sous un barnum ventilé, permettant de respecter à la fois les contraintes techniques et réglementaires. C’est cette rigueur qui garantit encore aujourd’hui la pérennité du résultat.
| Étapes | Conseils pratiques | Erreurs fréquentes à éviter |
|---|---|---|
| Préparation du support | Nettoyer avec un détergent neutre, poncer pour enlever l’ancienne peinture éclatée | Ignorer la poussière ou les résidus gras, mauvaise adhérence |
| Choix de la peinture | Opter pour un produit conforme aux normes COV 2025 | Utiliser une glycéro classique dépassant les seuils autorisés |
| Application | Appliquer en couche fine et régulière, avec un pinceau adapté | Peindre par épaisseurs, gouttes, coulures |
| Séchage | Maintenir une ventilation continue, respecter le temps de séchage indiqué | Fermer la pièce ou exposer sans ventilation, mélange de couches fraîches |
Pour approfondir ces bonnes pratiques, vous pouvez aussi consulter le guide complet sur la sécurité au travail pour les travaux de peinture.
Les tendances d’utilisation en 2025 : vers une disparition progressive de la peinture glycéro chez les particuliers
Le marché de la peinture a considérablement évolué à l’aube de cette année 2025. On peut observer une nette diminution de la demande en peinture glycérophtalique dans les grandes enseignes de bricolage et chez les fournisseurs professionnels. Cette baisse est directement liée à la réglementation stricte et au recours accru aux formules alternatives.
De nombreux consommateurs, sensibilisés aux enjeux sanitaires et environnementaux, préfèrent désormais les options plus saines, proposées par V33 ou Ripolin, notamment pour leurs offres hybrides.
Le phénomène est aussi la conséquence des campagnes d’information axées sur :
- La réduction des émissions polluantes
- Le respect des normes énergétiques et sanitaires dans les logements
- L’adoption de matériaux et produits durables
Dans ce contexte, des enseignes telles que Leroy Merlin ou Castorama jouent un rôle actif, en promouvant des peintures plus écologiques et en informant leurs clients sur les restrictions en vigueur. On note d’ailleurs une montée en puissance des peintures acryliques et hybrides proposées par Peintures PPG ou Peintures Opi.
Pour ceux qui hésitent encore à franchir le pas, il est bienvenu de considérer que l’arrêt de la peinture glycéro à usage grand public est aussi associé à une meilleure qualité de vie dans les habitats, en particulier dans les pièces accueillant des enfants ou des personnes sensibles. Ce virage s’inscrit dans une logique collective, appuyée notamment par les innovations dans le matériau de construction et la performance des revêtements, en lien avec la transition énergétique et écologique. Vous pouvez aussi vous informer sur le toit terrasse durable et sécurisé, partie intégrante d’un habitat sain et respectueux de l’environnement.
| Acteurs et marchés concerné | Évolution 2025 | Conséquences |
|---|---|---|
| Particuliers | Diminution progressive de l’achat de peinture glycéro | Adoption de peintures écologiques, meilleure qualité de vie |
| Professionnels | Utilisation limitée à des cas spécifiques, respect des normes | Formation accrue, investissement dans nouveautés |
| Distributeurs (ex : Castorama, Leroy Merlin) | Réduction de l’offre glycérophtalique, promotion alternatives | Modernisation de l’offre produit, accompagnement client |
Expérience et conseils d’un professionnel retraité : bien choisir et appliquer ses peintures en 2025
Après plus de quarante ans de carrière dans la construction et la rénovation, j’ai vu passer de nombreuses modes et techniques. Si la peinture glycérophtalique fut longtemps un standard, il est désormais crucial d’évoluer vers des produits moins polluants et tout aussi performants.
Voici mes recommandations pour réussir vos projets :
- Évaluez votre besoin réel : certaines surfaces nécessitent encore une glycéro spécifique, notamment en restauration ou pour des finitions particulières.
- Privilégiez les peintures faibles en COV : consultez les fiches techniques et certifications, notamment les labels écologiques.
- Investissez dans les bons outils : pinceaux, rouleaux de qualité, masques adaptés pour garantir un travail propre et sécurisé.
- Ne négligez pas la ventilation et la protection : il s’agit de votre santé à long terme !
- Tenez compte du temps de séchage et des conditions météo : trop humide ou froid, la peinture peut pâtir et perdre en durabilité.
- N’hésitez pas à demander conseil en magasin spécialisé :que ce soit chez Matériaux de Construction Gauthier ou dans les grandes enseignes, les experts savent guider vos choix selon la législation en vigueur.
L’usage de peintures acryliques ou hybrides sera sans doute la norme dans les années à venir, mais gardez en tête que le respect des normes et de l’environnement est un gage de succès et de durabilité du travail réalisé.
| Conseil | Explication | Bénéfice |
|---|---|---|
| Choisir des peintures à faible COV | Respect des normes européennes 2025 | Moins de pollution, meilleure qualité de l’air |
| Ventiler pendant et après l’application | Élimination des vapeurs toxiques | Protection santé accrue |
| Utiliser équipements de protection | Masque FFP2, gants, lunettes | Prévenir maladies professionnelles |
| Suivre rigoureusement les temps de séchage | Meilleure tenue et finition | Résultat durable et esthétique |
| Consulter des professionnels | Information à jour, conseils personnalisés | Travail conforme et sécurisé |
FAQ sur la peinture glycérophtalique et son interdiction en 2025
- La peinture glycérophtalique sera-t-elle totalement interdite en 2025 ?
Non, l’interdiction porte surtout sur les peintures dépassant les limites en composés organiques volatils selon les normes européennes. Des produits réformulés restent autorisés mais leur usage est restreint. - Quelles sont les meilleures alternatives à la peinture glycéro ?
Les peintures acryliques hydrodiluables et les peintures hybrides sont les plus recommandées. Elles combinent performance, rapidité de séchage et respect de l’environnement. - Peut-on encore trouver de la peinture glycéro dans les grandes enseignes ?
Oui, mais principalement des gammes conformes aux normes et généralement destinées aux professionnels. Pour les particuliers, la sélection en magasins comme Leroy Merlin ou Castorama est réduite. - Quels sont les risques pour la santé liés à la peinture glycéro ?
Les fumées dégagées peuvent provoquer irritations, maux de tête, vertiges voire des effets à long terme plus graves comme des risques cancérigènes, surtout en cas d’exposition répétée et non protégée. - Comment bien préparer son chantier peinture en 2025 ?
Il faut s’assurer de choisir les produits conformes, bien ventiler, porter des protections adéquates et respecter scrupuleusement les temps de séchage et consignes des fabricants.
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